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Stephen Curry a montré ce qu'il ne peut pas faire avec un ballon de basket

Alors que l’équipe nationale masculine de basket-ball des États-Unis se prépare pour les prochains Jeux olympiques dans son camp d’entraînement à Las Vegas, le meneur de jeu vétéran Stephen Curry, 36 ans, des Golden State Warriors, a parlé d’une compétence surprenante qu’il n’a pas encore maîtrisée dans son illustre carrière.

« Au cours de toutes mes années à jouer à ce jeu, j’ai appris à faire beaucoup de choses avec un ballon de basket », a déclaré Curry lors d’une séance de disponibilité médiatique. « Mais la seule chose qui m’a toujours échappé, la seule chose que je n’arrive pas à comprendre… c’est comment faire tourner une balle sur mon doigt.

Le quadruple champion de la NBA et deux fois MVP a démontré ses difficultés, tentant en vain de faire pivoter le ballon en douceur sur le bout de son doigt. « Regardez ça, c’est juste embarrassant. J’ai essayé et essayé, mais quoi qu’il arrive, je n’arrive pas à m’y habituer », se lamente-t-il en riant.

Malgré ses prouesses inégalées en matière de maniement du ballon, son toucher de tir d’élite et sa maîtrise de toutes les autres compétences du basket-ball, l’incapacité à effectuer le classique « finger spin » est restée une lacune humiliante pour le futur Hall of Famer.

« Vous voyez tous ces jeunes gars ici le faire avec facilité, ce qui donne l’impression que c’est sans effort. Pendant ce temps, je suis ici avec l’air d’un novice complet », a déclaré Curry. « C’est juste une de ces choses qui m’a toujours dérangé, vous savez ? Je peux drainer des trois-points à 30 pieds, mais demandez-moi de faire tourner une balle sur mon doigt et je suis essentiellement un cône de signalisation.

Ses coéquipiers, y compris d’autres membres de l’équipe olympique tels que Kevin Durant et Jayson Tatum, ont essayé en vain d’enseigner la technique à Curry au fil des ans. « Ils me donnent toujours du fil à retordre, ils essaient de me motiver. Mais peu importe le nombre de conseils et d’astuces qu’ils me donnent, je n’arrive pas à maîtriser cette mémoire musculaire », a admis Curry.

Malgré son génie du basket-ball et ses compétences inégalées, la rotation des doigts reste une faiblesse persistante dans le jeu de Curry. « Honnêtement, c’est un peu embarrassant. Je suis censé être l’un des joueurs les plus talentueux au monde, mais je ne peux pas faire quelque chose d’aussi simple que de faire tourner une balle sur mon doigt. Peut-être que je devrai simplement accepter que ce n’est pas dans les cartes pour moi », a-t-il déclaré avec un rire triste.

Alors que l’équipe américaine se prépare pour sa campagne olympique, Curry garde l’espoir qu’il peut enfin surmonter cette lacune persistante du basket-ball. « Qui sait, peut-être que la compétition se manifestera et que je le découvrirai pendant le camp d’entraînement. Mais pour l’instant, je vais juste me concentrer sur mes tirs, mes passes et tout ce que je peux vraiment bien faire. La rotation des doigts peut attendre.

Stiven Curry